L'apparition
sur les champs de bataille de la remarquable grenade à fusil Française
Viven-Bessière en 1916 est une petite révolution dans le domaine des
combats de tranchées. Sure car ne nécessitant pas de changer de type de
munitions pour son emploi, facilement transportable en grandes quantités
et tactiquement efficace car capable de saturer une cible par les feux
de plusieurs grenadiers à la manière d'un tir miniature d'artillerie,
cette arme fut copiée dès 1917 par l'armée Allemande avec la grenade à tromblon 1917 ('Karabingranate 1917').
Basée sur le même principe général que la VB Française, elle était également cylindrique, quadrillée intérieurement, introduite dans un tromblon amovible fixable au fusil d'infanterie Mauser, propulsée par les gaz d'éjection d'une balle conventionnelle, et de fonctionnement fusant déclenché par le passage de celle-ci au travers d'un tube central.
Les différences majeures résidaient dans sa plus grande taille (diamètre 6 cm, au lieu de 5 cm pour la VB), et par le mode de mise à feu, la balle ne percutant pas un petit marteau comme dans la VB, mais plutôt une amorce qui communiquait avec le détonateur par un canal radial.
La portée maximum était de 180 m.
Poids 440 g., 36 g de Tolite
Basée sur le même principe général que la VB Française, elle était également cylindrique, quadrillée intérieurement, introduite dans un tromblon amovible fixable au fusil d'infanterie Mauser, propulsée par les gaz d'éjection d'une balle conventionnelle, et de fonctionnement fusant déclenché par le passage de celle-ci au travers d'un tube central.
Les différences majeures résidaient dans sa plus grande taille (diamètre 6 cm, au lieu de 5 cm pour la VB), et par le mode de mise à feu, la balle ne percutant pas un petit marteau comme dans la VB, mais plutôt une amorce qui communiquait avec le détonateur par un canal radial.
La portée maximum était de 180 m.
Poids 440 g., 36 g de Tolite
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